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Me Félix NKONGHO AGBOR-BALLA

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Me Nkongho Agbor-Balla Nkongho Felix Agbor Balla est avocat en droits humains, vice-président de l'African Bar Association - AFBA (Barreau africain) pour l'Afrique centrale,  et président du Cameroon Anglophone Civil Society Consortium (CACSC) aujourd'hui interdit. Il est également fondateur et actuel directeur exécutif du Centre for Human Rights and Democracy in Africa (CHRDA). Il a activement participé à l'organisation d'importantes manifestations en faveur du droit à l'éducation et des droits légaux des Camerounais anglophones et pour appeler à la libération des étudiants et enseignants emprisonnés fin 2016 et début 2017. 

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M. Christopher FOMUNYOH  

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Diplômé en droit et en sciences politiques, le Dr Fomunyoh est actuellement le directeur Afrique du National Democrate Institute for Internal Affairs, qu’il a rejoint en 1993 après avoir travaillé dans des entreprises publiques au Cameroun, ainsi que dans des cabinets d’avocats tant au Cameroun qu’aux Etats-Unis. Il organise et conseille les missions internationales d’observation des élections. Plusieurs partis politiques le pressent de présenter sa candidature à la prochaine élection présidentielle au Cameroun.

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Enoh MEYOMESSE  

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Poète, romancier, essayiste, historien, et homme politique, Enoh Meyomesse est un ancien militant de l’Union Nationale des Etudiants du Kamerun (l’UNEK). Il subit de nombreuses persécutions dues à ses positions politiques. Accusé à tort d’une tentative de coup d’Etat en juillet 2010, débouté de sa candidature aux élections présidentielles de 2011, il est abusivement arrêté en novembre 2011, condamné à huis clos sans preuves, et emprisonné pendant 40 mois. Il est libéré depuis avril 2015 et vie en exil en Europe.

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Ngouo WOUNGLY MASSAGA   

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Ngouo Woungly Massaga, docteur en mathématiques, est un compagnon de lutte des pères de l’indépendance du Cameroun. Il est notamment secrétaire administratif d’Ernest Ouandié en exil. Après l’assassinat de ce dernier, il sera l’artisan, du lancement du MANIDEM (Manifeste National pour l’Instauration de la Démocratie). Secrétaire général de l’UPC de 1982 à 1990, il quitte ce parti en 1991. Il crée un parti le PSP, adhère de nouveau à l’UPC en 1996, puis s’en écarte et cherche pendant deux décennies à jouer le rôle de ciment entre certaines tendances upécistes. Depuis juillet 2017, il a rejoint le MRC (Mouvement pour la Renaissance du Cameroun).

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